A qui s'adressent les études d'Étiopathie ?
formation etiopathe

Les études d’Étiopathie s’adressent à tous !

Au-delà de la diversité naturelle qui recoupe en grande partie celle de la population, les étudiants en Étiopathie sont :

  • De jeunes bacheliers qui, dès le départ font le choix de l’Étiopathie;

  • Des étudiants déjà inscrits dans une filière de santé (PACES, infirmiers, kinésithérapeutes ou autres) qui se réorientent;

  • Des étudiants en STAPS, coach sportifs et sportifs de haut niveau;

  • Mais aussi des moins jeunes qui font le choix courageux de reprendre des études pour changer de profession.

Dans tous les cas, une réelle vocation préside au choix de ces études, qui est celle d’hommes et de femmes qui souhaitent être à même de soulager réellement les patients et malades qui viennent ou viendront les consulter.

Témoignages

L’orientation après le bac

C’est au lycée que les premiers choix d’orientation se déterminent. On s’est tous et toutes posé les mêmes questions fondamentales: qu’est-ce que je vais faire et surtout qu’est-ce que j’aimerais faire ? Dans quel domaine et dans quel but ? J’ai toujours voulu m’orienter vers une filière scientifique où le soin à l’autre aurait toute sa place. Kinésithérapeute ou ostéopathe ? Pourquoi pas, mais le système de concours et les formations proposées ne m’ont pas assez convaincue pour dire : « oui je suis sûre ! ». Originaire de Vichy, j’ai découvert l’Étiopathie grâce à un praticien, qui m’expliqua les notions de structure / fonction et de recherche de causalité. Ce fut mon déclic !

Ophélie SOULIER
Étudiante 2e Année – 2016 

Des reconversions professionnelles : de gendarme, à coach sportif, jusqu’à l’Étiopathie

Après une carrière dans la gendarmerie, puis un métier d’éducateur sportif / coach et préparateur physique, c’est à l’âge de 35 ans que je prends la décision d’une seconde reconversion professionnelle pour l’Étiopathie, motivé et conquis par les résultats et l’efficacité de cette méthode de thérapie manuelle. Après 6 années d’études, solidement acquises, je ressens une profonde sérénité et un grand épanouissement de devenir d’ici quelques mois un étiopathe, afin de débuter une nouvelle et passionnante aventure professionnelle.

Fabien SCHULZE
Étudiant 6e Année – 2016 

De la faculté de médecine de Toulouse à l’Étiopathie

Après un parcours scolaire sur l’ile de la Réunion, et une tentative au concours d’entrée en médecine, je me suis orientée vers l’enseignement de l’Étiopathie, que j’ai connu via le milieu sportif de l’équitation. Cette décision a été une évidence, confortée par la rigueur du raisonnement de cette méthode logique, concrète et efficace. L’étiopathie est intellectuellement passionnante sur le plan théorique. Après l’établissement d’un diagnostic causal, il est aussi très gratifiant de traiter des patients avec les mains uniquement. C’est avec impatience que je débuterai ma carrière professionnelle dans 1 an !

Julie CHATELET
Étudiante 5e Année – 2016 

Mère de 4 enfants, une reconversion professionnelle, et un emploi du temps choisi

Ancienne commerciale à l’international, j’ai stoppé ma carrière pour m’occuper de mes enfants. Avec leurs lots d’affections infantiles comme les troubles ORL (otites), ou traumatiques (chutes et chocs), je me suis tournée vers l’Étiopathie, ne trouvant pas de réponse durable à nos maux à répétition. J’ai été séduite par les résultats de la méthode, évitant les médicaments et leur lot d’effets secondaires. Forte de ce constat et en recherche de reconversion, je me suis lancée dans ces études professionnalisantes. Au moyen d’un diagnostic précis et rigoureux mené après 6 années d’enseignement et de nombreux stages, l’Étiopathe apporte un soulagement et une guérison aux patients en réduisant la cause du mal.

Galienne GRANIER
Étiopathe depuis 2015 – AMBARES et LAGRAVE (33)
http://www.etiopathes.com/galiennegranier

La thérapie manuelle, une envie depuis longtemps

Depuis l’adolescence, je voulais exercer une profession de santé. Pouvoir traiter avec mes mains, sans médiateur chimique était une priorité. Parmi l’éventail des thérapies manuelles, je me suis tournée vers la kinésithérapie, confortée par son statut officiel et ses possibilités d’exercice. Ce choix impliquait de suivre la première année de médecine, ce que j’ai fait. Mais dès le début, j’ai entendu parler de l’Étiopathie, je me suis renseignée, j’ai été convaincue par cette méthode, et je me suis réorientée. L’Étiopathie correspondait parfaitement à mes attentes : une approche théorique pertinente (diagnostic causal, logique, systémique) associée à une application manuelle permettant de soulager de façon efficace et souvent immédiate la douleur du patient. Une vraie satisfaction pour le praticien et pour le patient.

Morgane JEANNEAU
Étudiante 5e Année – 2016 

Étiopathe à l’étranger

Quel beau métier que celui d’étiopathe. J’ai la chance de me lever tous les matins sans avoir la contrainte qu’ont beaucoup de gens d’aller travailler « la boule au ventre » car c’est un vrai plaisir que d’être étiopathe. Il s’agit pour moi à la fois du plaisir d’avoir des résultats face à la problématique parfois complexe des patients mais aussi de la possibilité de faire énormément de belles rencontres avec des patients capables de vous enrichir de par leur expérience.
J’ai passé six ans en formation à la Faculté Libre d’Étiopathie de Toulouse qui m’ont permis de pouvoir être autonome et efficace directement après l’obtention de mon diplôme. J’ai ensuite passé six ans à exercer en cabinet sur la région toulousaine. La Faculté m’a permis d’être également chargé de cours ce qui m’a donné l’occasion de rendre ce qui m’avait été transmis par mes confrères.
Aujourd’hui, à l’étranger, j’ai la satisfaction de voir que l’étiopathie peut se pratiquer partout et j’encourage mes confrères ou les futurs diplômés à oser l’aventure hors de France s’ils l’envisagent. Je peux pratiquer mon métier comme je l’ai appris mais auprès de cultures différentes, avec un rapport à la médecine autre, ce qui enrichit mon expérience professionnelle. Si la barrière de la langue peut en dissuader certains, j’étais pour ma part rassuré d’avoir avec moi le plus important pour exercer mon métier : mes mains et mon savoir.

Si en France nous pouvons bénéficier des dizaines d’années de travail effectuées par nos confrères, il existe encore de nombreux terrains à exploiter, de choses à développer. A l’étranger, le terrain est vierge, tout est à construire pour nous, mais ce défi me plaît et la réussite ici à l’étranger pour moi me réconforte sur un point : je ne changerais de profession pour rien au monde.

Mathieu LASSERRE
Étiopathe depuis 2009 – IBIZA (Iles Baléares, Espagne)